Chez moi, à la maison, j’ai une imprimante, pour imprimé du papier, et j’ai parfois l’impression d’être au 20 ième siècle tellement c’est long. Et là, je m’ouvre au monde de l’impression 3D et je comprends mieux, ils ont oublié d’améliorer l’impression 2D et ils ont tous mis sur la 3D.
L’impression 3D, ceci est une révolution
Je découvre ainsi que l’impression 3D existe depuis les années 1980, et a parcouru un immense chemin technologie depuis. Évidemment, les médias en ont beaucoup parlé quand il fut question d’une arme à feu en 3D. Mais l’impression 3D, c’est aussi des moules pour la chirurgie réparatrice, des prothèses pour les personnes handicapées, des pièces uniques à la portée des petites industries, les fondations de maisons en France, des maisons entières (en France on appelle plutôt ça des cabanes, mais soit), des ponts pour piétons, etc.
Le futur à portée de main
Mais, quand on creuse encore un peu l’impression 3D, on découvre un monde qui va au delà de toute imagination. Les spécialistes annoncent des greffes d’organes bientôt possibles en impression de cellules organiques. Les rêves les plus fou font résonner la possibilité d’imprimer de la nourriture. On comprend mieux pourquoi elle est parfois présentée comme la nouvelle révolution industrielle.
Mais, si comme moi, vous avez une sensibilité particulière à l’oreille, vous serez stupéfait d’entendre la qualité du son que peu produire un violon imprimé en 3D, par une entreprise française qui plus est, 3Dvarius.
Je me tais, écoutez donc cet extrait musical qui envoie le son dans la troisième dimension.
Et là, à partir d’une minute 22, vous avez le célèbre Thunderstuck sur courant alternatif et courant continu.
Si on m’avait dit que le hard rock aurait un goût de violon en plastique, je n’aurais jamais cru.